
Economie de la microfinance en Afrique subsaharienne
- Auteur : Komi Djadé
- Editeur : L'Harmattan
- Collection : Diasporas africaines & Codéveloppement
- Parution : 09/11/2009
- EAN : 9782296107601
- 250 pages
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Comment concilier rentabilité, faible coût du crédit et large portée des institutions de microfinance ? Quelle est l'efficacité des subventions accordées à ces institutions ? Comment articuler la microfinance et la croissance économique dans les pays d'Afrique subsaharienne ?
En Afrique subsaharienne, les institutions de microfinance issues de la privatisation directe ou indirecte d'anciens réseaux de collecte étatiques ont une rentabilité négative mais touchent un grand nombre de personnes. À l'inverse les institutions de microfinance d'origine locale ont une taille relative beaucoup plus faible, leur part dans la distribution du crédit total à l'économie est faible, mais elles sont rentables. La politique de subventions doit encourager les institutions à devenir autonomes plutôt que chercher à pérenniser les situations acquises d'endettement, tout en cherchant à réduire l'effet des coûts fixes sur le taux du crédit.
Finalement, de la nature de la politique économique dépendra le développement relatif des secteurs formel et informel. Par exemple, une politique monétaire restrictive favorisera le secteur informel alors qu'une politique monétaire expansionniste favorisera le secteur formel.
Komi Djadé, né en 1973 à Lomé (TOGO), a étudié et soutenu sa thèse de Doctorat en économie à Paris. Ce livre reprend en partie ses travaux de recherche.
En Afrique subsaharienne, les institutions de microfinance issues de la privatisation directe ou indirecte d'anciens réseaux de collecte étatiques ont une rentabilité négative mais touchent un grand nombre de personnes. À l'inverse les institutions de microfinance d'origine locale ont une taille relative beaucoup plus faible, leur part dans la distribution du crédit total à l'économie est faible, mais elles sont rentables. La politique de subventions doit encourager les institutions à devenir autonomes plutôt que chercher à pérenniser les situations acquises d'endettement, tout en cherchant à réduire l'effet des coûts fixes sur le taux du crédit.
Finalement, de la nature de la politique économique dépendra le développement relatif des secteurs formel et informel. Par exemple, une politique monétaire restrictive favorisera le secteur informel alors qu'une politique monétaire expansionniste favorisera le secteur formel.
Komi Djadé, né en 1973 à Lomé (TOGO), a étudié et soutenu sa thèse de Doctorat en économie à Paris. Ce livre reprend en partie ses travaux de recherche.
EAN | 9782296107601 |
ISBN | 978-2-296-10760-1 |
Date de parution | 09/11/2009 |
Nombres de pages | 250 |
Type d’ouvrage | Thèses |
Support | Livre |
Langue | Français |
Auteur(s) | Komi Djadé |
Editeur | L'Harmattan |
Collection | Diasporas africaines & Codéveloppement |
Thème | Économie > Économie européenne / Économie internationale |
Thème secondaire | Droit > Droit commercial et des affaires > Droit financier / Droit bancaire / Droit du crédit / Droit boursier |